78 % des recherches d’un bien immobilier commencent aujourd’hui sur Google et les portails en ligne.
Dans un marché qui devrait franchir le cap des 900 000 transactions en 2025 (+17 % vs 2024), la concurrence entre agences s’intensifie à Lyon, Bordeaux ou La Rochelle. Résultat : même les pros les plus aguerris se surprennent à taper « comment trouver des clients en immobilier » ou, plus précis encore, « comment attirer des clients dans une agence immobilière » dans la barre de recherche. Si vous aussi vous sentez que la prospection classique ne suffit plus, cet article est taillé pour vous.
Parce qu’un bon contenu vaut mieux qu’un long discours commercial, Artur’in conçoit pour vous des posts, articles et campagnes localisés qui parlent aux vendeurs comme aux acheteurs de votre quartier.
Avant de « trouver des clients en immobilier », il faut surtout déterminer qui ils sont et ce qu’ils cherchent – autrement dit, cartographier votre micro-marché comme on épluche un dossier de diagnostics : pièce par pièce.
À l’échelle nationale, les ventes devraient repasser la barre des 900 000 transactions dès 2025. Bonne nouvelle ? Oui… sauf si, dans votre secteur, le stock de biens reste atone ! Un agent de Lyon-Croix-Rousse ne fait pas face aux mêmes volumes qu’une agence de Saint-Brieuc, et vos actions marketing doivent refléter ces écarts.
Comment procéder ?
Bon à savoir
Depuis 2024, 78 % des recherches immobilières débutent en ligne ; vos données digitales (requêtes Google, clics sur vos annonces) valent donc autant qu’un registre de visites en agence.
Créez ensuite trois « personas » locaux (ex. Claire, 29 ans, primo-accédante à Lille-Euralille / Youssef, 47 ans, investisseur patrimonial à Montpellier-Port-Marianne / Juliette & Maxime, 38 ans, famille en quête d’un T4 à Rennes-Beauregard). Chaque persona guidera vos choix de mots-clé, d’angles éditoriaux et de formats (reel Instagram, article long, newsletter).
Bon à savoir
Plus vos contenus parlent d’une rue précise, d’un arrêt de tram, d’un nouveau collège, plus Google vous identifie comme la référence locale… et plus vos lecteurs se sentent compris.
Ainsi armé, vous saurez comment attirer des clients dans une agence immobilière : en leur parlant des bons sujets, au bon moment, au bon endroit – la base de toute prospection réussie, digitale ou terrain.
Dans un secteur où trouver des clients en immobilier passe d’abord par un écran de smartphone, vos outils en ligne sont vos nouvelles vitrines – et vos prospects s’y baladent 24 h/24. Voici comment transformer chaque clic en prise de mandat.
Le SEO local reste la première porte d’entrée : 78 % des recherches immobilières débutent sur internet – dont une majorité contenant le nom d’une ville ou d’un quartier. Concrètement :
Bon à savoir
Les articles “prix au m² + nom de rue” génèrent un temps de lecture 38 % plus long que les pages génériques, augmentant d’autant la probabilité de prise de contact
Les réseaux ne servent plus seulement à publier la photo d’un duplex ; ils prouvent votre expertise locale. En 2024, 64 % des acheteurs disent consulter Instagram ou Facebook avant de choisir une agence.
Bon à savoir
Les contenus vidéo sous 45 secondes obtiennent 29 % de partages supplémentaires dans l’immobilier, alors que la moyenne tous secteurs plafonne à 17 %
Vous maîtrisez vos audiences ; vous contrôlez vos coûts ; et, surtout, vous captez les vendeurs avant vos concurrents.
Bon à savoir
À budget égal, un mix Google Ads + retargeting Facebook génère 3 fois plus de demandes d’estimation qu’une campagne search seule (étude interne Artur’in, 2024).
L’email reste le canal préféré de 50 % des acheteurs pour recevoir des offres immobilières.
Bon à savoir
Le mardi affiche le meilleur taux d’ouverture (31 %) pour les emails commerciaux dans l’immobilier, juste devant le lundi.
Le digital fait la une, mais le terrain reste votre meilleur allié pour trouver des clients en immobilier : l’encre d’un flyer ou une poignée de main au salon de l’habitat déclenchent souvent la première estimation.
Même saturée d’écrans, la France compte 32 000 agences qui continuent à glisser des prospectus dans les halls d’immeubles ; bien conçus, ces supports « tactiles » fixent votre marque dans la mémoire du voisinage.
Bon à savoir
Les flyers placés à moins d’un kilomètre génèrent jusqu’à 40 % de rappels supplémentaires par rapport à un envoi « toutes boîtes » régional.
Une table haute, deux kakemonos, et vous transformez un week-end porte ouverte à Clermont en gisement de contacts.
Bon à savoir
63 % des Français visitent au moins un salon ou expo patrimoniale par an – excellent terrain neutre pour parler immobilier sans pression.
Notaires, courtiers, architectes, syndics : autant d’alliés capables de vous souffler des vendeurs avant le marché.
Bon à savoir
Un propriétaire recevant une recommandation directe convertit 4 fois plus vite qu’après un simple clic publicitaire – effet bouche-à-oreille oblige.
Les témoignages n’ont jamais été aussi puissants : selon le Boston Consulting Group, le bouche-à-oreille déclenche 4 à 5 fois plus d’achats que la publicité traditionnelle.
Votre logo, votre ton, vos promesses : tout doit rassurer et séduire en moins de trois secondes.
Bon à savoir
Les marques alignant visuel + tonalité sur tous leurs canaux voient leur notoriété spontanée grimper de 23 % en un an, dixit HubSpot Brand Consistency Benchmark.
Vous connaissez maintenant les bonnes pratiques pour trouver des clients en immobilier. Voyons le revers de la médaille : ces pièges qui grignotent vos budgets, frustrent vos équipes et éloignent les vendeurs de votre agence.
Plus vous diluez votre zone, moins votre message résonne. Un budget Ads national pour une agence de Brest ? Autant arroser le Finistère depuis Paris : vous payez pour des clics hors cible et Google pénalise votre qualité d’annonce. Concentrez vos contenus et vos campagnes sur 3 à 5 communes contiguës ; élargissez seulement quand le portefeuille justifie l’investissement.
bon à savoir
Les requêtes « estimation appartement + {quartier} » affichent un CTR jusqu’à 2,5 fois supérieur aux requêtes « agence immobilière + {département} ».
Le mandat signé ne marque pas la fin de la relation, mais le début d’une histoire d’ambassadeur. Sans process post-vente (email de remerciement, demande d’avis, check 3 mois après), vous perdez un témoignage, un éventuel bien à revendre… et un prescripteur. Automatisez un workflow post-acte : appel J+2, mail J+7 avec guide “changer d’adresse”, relance J+90 pour un avis complet.
Un mois en mode “rafale”, puis silence radio : Google détecte l’irrégularité, dégrade votre position. Les abonnés, eux, se désabonnent. Bloquez un créneau fixe chaque semaine pour produire ou valider vos contenus ; programmez-les à l’avance via un outil (Buffer, Swello). Votre audience saura qu’elle peut compter sur vous, et l’algorithme aussi.
Photos jaunies, cadrages bancals, vidéos tremblotantes : votre image de marque flanche et les vendeurs doutent de votre sérieux. Investissez dans un mini-studio mobile (trépied, ring-light, micro cravate) et formez un collaborateur. Sur un marché ultra-concurrentiel, la première impression se joue en 0,05 seconde ; ne l’abandonnez pas à un smartphone mal nettoyé.
Plus de 70 % des visites d’annonces se font depuis un téléphone ; un site lent ou illisible et vos leads filent chez l’agence voisine. Testez votre page d’estimation sur différents écrans, réduisez les images, supprimez les pop-ups intrusifs. Objectif : un temps de chargement <2 secondes en 4G.
Recevoir 200 adresses e-mail “froides” vaut moins que 20 propriétaires prêts à vendre. Paramétrez vos formulaires : surface du bien, échéance de vente, motif du déménagement. Un lead mal qualifié vous coûtera du temps commercial, abaissera votre taux de conversion et dégradera votre coût par mandat.
Bon à savoir
Un formulaire à trois questions génère 25 % de leads en moins qu’un single-field, mais double le taux de conversion rendez-vous → mandat.
Lancer des campagnes sans seuil de rentabilité, c’est entrer dans un taxi sans compteur. Calculez votre coût cible par estimation : (commission moyenne × marge souhaitée) ÷ taux de transformation. Ajustez vos enchères hebdomadaires ; suspendez les annonces qui dépassent 120 % du CPL cible.
Google pénalise les copier-coller entre agences ; les lecteurs repèrent vite le contenu “robotisés”. Rédigez des textes originaux ; inspirez-vous des prix au m² de la rue plutôt que de la métropole : c’est (encore) moins concurrencé et plus utile pour le vendeur qui veut se situer.
Se focaliser sur le trafic brut plutôt que sur le nombre de rendez-vous tenus conduit à des décisions biaisées : vous pourriez augmenter les visites issues de curieux… tout en baissant votre chiffre. Sélectionnez 3 à 4 KPI majeurs (CPL, taux estim → mandat, DMV, avis Google) et laissez les vanity metrics en toile de fond.
Un lead chauffe en quelques heures ; passé 24 h, il se refroidit de 40 %. Sans système d’alerte (notification mobile, intégration CRM), votre conseiller rappelle trop tard. Mettez en place un SLA interne : tout formulaire vendeur doit recevoir une réponse sous 2 heures jours ouvrés, 12 heures week-end compris.
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